
Artist focus Paris 2021

Jihye YOO
Jihye YOO, artiste sud-coréenne, prend plaisir à connaître le caractère des personnes qu’elle rencontre car chaque individu est différent. Cette diversité de personnalités se manifestant sous plusieurs facettes
intéressent l’artiste.
Ces multiples rencontres lui ont fait prendre conscience qu’elle n’était pas en phase avec son Moi intérieur et uniquement captivée par les sentiments de l’Autre. Ainsi, cette nouvelle série est l’occasion pour Jihye YOO d’entamer une introspection à travers ses tableaux. Il n’était pas aisé pour l’artiste de se détacher de son thème de prédilection: l’Autre. C’est donc, à travers ses œuvres, qu’elle décide de communiquer ses
sentiments.
Cette production est, pour l’artiste, l’opportunité de mener une introspection et, aussi, une auto-thérapie
dûe aux traumatismes subis durant sa jeunesse.
La série “Interior” qu’offre Ji Hye YOO est composée de douze portraits dans lesquels le spectateur est invité à découvrir des univers différents. L’artiste y décrit la vie quotidienne de douze individus chez eux dans le but de comprendre leur personnalité.
intéressent l’artiste.
Ces multiples rencontres lui ont fait prendre conscience qu’elle n’était pas en phase avec son Moi intérieur et uniquement captivée par les sentiments de l’Autre. Ainsi, cette nouvelle série est l’occasion pour Jihye YOO d’entamer une introspection à travers ses tableaux. Il n’était pas aisé pour l’artiste de se détacher de son thème de prédilection: l’Autre. C’est donc, à travers ses œuvres, qu’elle décide de communiquer ses
sentiments.
Cette production est, pour l’artiste, l’opportunité de mener une introspection et, aussi, une auto-thérapie
dûe aux traumatismes subis durant sa jeunesse.
La série “Interior” qu’offre Ji Hye YOO est composée de douze portraits dans lesquels le spectateur est invité à découvrir des univers différents. L’artiste y décrit la vie quotidienne de douze individus chez eux dans le but de comprendre leur personnalité.

Kseniya OUDENOT
Kseniya est une designeuse d’origine ukrainienne, née en Angleterre. Elle a étudié la peinture académique, puis est venue au Royaume-Uni pour étudier le Design de performance au Saint Martins College. Dans ses premiers designs elle a exploré le monde de la mode en utilisant des matériaux high-tech qui ont été exposés au Science Museum de Londres ou encore à la Science Gallery de Dublin. Par ses méthodes, l’artiste exprime sa créativité à travers les arts plastiques et leur adaptation aux technologies. Elle a reçu de nombreuses récompenses pour ses œuvres qui sont à la fois dans le domaine de l’art et dans celui du théâtre. Certaines de ses œuvres ont d’ailleurs été présentées à la Royal Opera House de Londres, au Scottish Ballet, et à la maison de la mode Alexander McQueen.
Kseniya utilise différents médiums dans ses œuvres, à la fois la peinture, la sculpture, les dessins ou encore les installations artistiques. Grâce à cette multiplicité de médiums et aux diverses influences constituant son parcours, elle produit des toiles dramatiques qui sont riches en textures, en contrastes mais aussi riches dans les messages qu’elle transmet par ce biais.
Elle porte un fort intérêt pour la nature, les sciences et la perception du temps, ainsi ses peintures sont des œuvres juxtaposant fantaisie et nature. Cette dernière étant constamment altérée par nos sociétés, faisant de ses écosystèmes des entités mobiles toujours en évolution. Kseniya utilise cette dernière afin d’interroger la perception du temps.
Kseniya utilise différents médiums dans ses œuvres, à la fois la peinture, la sculpture, les dessins ou encore les installations artistiques. Grâce à cette multiplicité de médiums et aux diverses influences constituant son parcours, elle produit des toiles dramatiques qui sont riches en textures, en contrastes mais aussi riches dans les messages qu’elle transmet par ce biais.
Elle porte un fort intérêt pour la nature, les sciences et la perception du temps, ainsi ses peintures sont des œuvres juxtaposant fantaisie et nature. Cette dernière étant constamment altérée par nos sociétés, faisant de ses écosystèmes des entités mobiles toujours en évolution. Kseniya utilise cette dernière afin d’interroger la perception du temps.

Léo&Steph
Léo&Steph duo Franco-Brésilien passionnés de «Pop Art» qui aime détourner les objets de la vie courante en œuvres d’arts uniques et exclusives.
Léo, Brésilien installé à Paris depuis 2008, est designer (graphique et d’intérieur). Il peint, moule et joue avec les matières et les pinceaux.
Steph, Lyonnais, travaille dans les médias depuis plus de 20 ans. Féru de décoration, il souhaite créer des pièces ludiques et colorées.
Léo, Brésilien installé à Paris depuis 2008, est designer (graphique et d’intérieur). Il peint, moule et joue avec les matières et les pinceaux.
Steph, Lyonnais, travaille dans les médias depuis plus de 20 ans. Féru de décoration, il souhaite créer des pièces ludiques et colorées.

Théotime RITZENTHALER
Né en 1999, Théotime a grandi en France avant de résider en Suisse. Il a commencé le travail du métal comme loisir, il a donc appris à le manier en autodidacte pendant 5 ans. En 2018, il a suivi un cursus à la Gothenburg University afin d’approfondir sa pratique artistique. Aujourd’hui, son approche se centre sur les relations entre l’expression matérielle et la matière en question. Il a présenté ses œuvres au cours de plusieurs expositions, comme par exemple en 2019, Le métal dans l’art à Mulhouse, ou encore en 2020 Body of Work, Dals Langed en Suède.
L’artiste s’amuse à connecter des formes étranges et irrégulières entre elles, provoquant le bizarre. Ces phénomènes qu’il décrit comme ambigus, à la fois calme et actifs, détendus et en tension le fascinent.
C’est cette dernière qui le place sur une ligne entre cette attirance pour les forces incontrôlables de la matière, et la peur de franchir une limite, et de ne plus pouvoir avoir d’emprise sur celle-ci.
“J’aime l’étrange mélange de l’irrégularité issue de l’altération du matériau et du travail conscient et volontaire de l’homme, les formes bizarres résultant d’un procédé instinctif et libérateur, comme un morceau de papier froissé ou du tissu déchiré. Ces phénomènes sont ambigus, calmes et actifs, tendus et relâchés, comme des souvenirs d’une transition.
Mon travail oscille entre la fascination de l’incontrôlable et la peur de trouver la limite et de perdre son emprise.
J’explore ces thèmes grâce à différentes techniques de travail du métal comme le forgeage, soudage, etc.”
L’artiste s’amuse à connecter des formes étranges et irrégulières entre elles, provoquant le bizarre. Ces phénomènes qu’il décrit comme ambigus, à la fois calme et actifs, détendus et en tension le fascinent.
C’est cette dernière qui le place sur une ligne entre cette attirance pour les forces incontrôlables de la matière, et la peur de franchir une limite, et de ne plus pouvoir avoir d’emprise sur celle-ci.
“J’aime l’étrange mélange de l’irrégularité issue de l’altération du matériau et du travail conscient et volontaire de l’homme, les formes bizarres résultant d’un procédé instinctif et libérateur, comme un morceau de papier froissé ou du tissu déchiré. Ces phénomènes sont ambigus, calmes et actifs, tendus et relâchés, comme des souvenirs d’une transition.
Mon travail oscille entre la fascination de l’incontrôlable et la peur de trouver la limite et de perdre son emprise.
J’explore ces thèmes grâce à différentes techniques de travail du métal comme le forgeage, soudage, etc.”

Lionel GRASSOT
Né le 7 décembre 1975 à Mulhouse en Alsace, Lionel Grassot est diplomé des beau-arts de Toulon (Diplome national des arts plastiques) et de Tourcoing (Diplome national supérieur d'expression plastique). Il vit et travaille actuellement à Lagny-sur-Marne (Seine-et-Marne). S’abandonner dans l’univers de Lionel Grassot, c’est voyager dans une atmosphère fantasmagorique et onirique. Un croisement entre l’étrangeté inquiétante du colosse de Francisco Goya et la nature puissante, hypnotique des tableaux de Peter Doig.
La ligne devient matières, textures d’où naissent forêts, plans d’eau, corps inertes et silhouettes errantes. Les personnages y sont rejoués comme des motifs, dans un moment suspendu… Le regard se perd, voyage à l’intérieur du dessin où se télescopent éléments figuratifs, signes abstraits.
La ligne devient matières, textures d’où naissent forêts, plans d’eau, corps inertes et silhouettes errantes. Les personnages y sont rejoués comme des motifs, dans un moment suspendu… Le regard se perd, voyage à l’intérieur du dessin où se télescopent éléments figuratifs, signes abstraits.

Patrice PIECHOCKI
Artiste peintre français né en 1960.
Vit et travaille à Besançon.
Études à l’École des Beaux-Arts de Besançon de 1979 à 1985. Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique en 1985. Expositions collectives à Besançon de 1985 à 1987 : Galeries ‘’Cimaise’’, ‘’Forum d’Artémis’’ et 2ème Triennale des Arts Plastiques. Exposition personnelle : Galerie Maxence en 1988.
Interruption de la pratique de la peinture pendant près de 30 ans pour se consacrer à l’enseignement. Professeur d'arts plastiques depuis 1989.
Reprise de la peinture en 2016.
La plupart du temps, quand je me présente devant ma toile, j’ignore ce que je vais peindre. J’ai, comme point de départ, le geste qui se libère sur le support et qui laisse une grande place à l’imprévu, à l’inconnu, à l’aventure picturale... Mais, ma peinture n’est pas que le fruit du hasard, elle naît de ce double mouvement : d’un jaillissement spontané et d’un travail de construction qui s’élabore au rythme d’un dialogue incessant entre ce que me suggère la toile et ce qui se vit en moi. Dans cet échange, des figures porteuses d’énergie se dressent dans l’espace. La couleur se déverse en gerbes, en vagues tourmentées comme si elle s’identifiait à des forces naturelles. Devant ce déferlement de possibilités et pour renouer avec le « plaisir de peindre » un choix plastique s’impose à moi. L’ensemble s’intensifie, s’étoffe, se ramifie, s’harmonise. Comme des vagues qui se brisent en écume, les tons vifs s’éclatent, s’embrasent en une conflagration lumineuse. Une valse de couleurs me suggère des formes éclatées et un espace mouvementé.
La couleur a une place prépondérante dans mon travail, et à travers elle, j’essaye d’exprimer une sensualité très vaste reposant sur une intensité chromatique où force et subtilité peuvent se rejoindre sans s’opposer. Mon univers pictural naît ainsi de sensations fortes, vives et subtiles à la fois. Il est ponctué de signes virevoltants, de formes à peine suggérées, d’organisations “chaotiques”, où l’esprit peut voyager sans jamais être enfermé ou replié sur lui-même.
Vit et travaille à Besançon.
Études à l’École des Beaux-Arts de Besançon de 1979 à 1985. Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique en 1985. Expositions collectives à Besançon de 1985 à 1987 : Galeries ‘’Cimaise’’, ‘’Forum d’Artémis’’ et 2ème Triennale des Arts Plastiques. Exposition personnelle : Galerie Maxence en 1988.
Interruption de la pratique de la peinture pendant près de 30 ans pour se consacrer à l’enseignement. Professeur d'arts plastiques depuis 1989.
Reprise de la peinture en 2016.
La plupart du temps, quand je me présente devant ma toile, j’ignore ce que je vais peindre. J’ai, comme point de départ, le geste qui se libère sur le support et qui laisse une grande place à l’imprévu, à l’inconnu, à l’aventure picturale... Mais, ma peinture n’est pas que le fruit du hasard, elle naît de ce double mouvement : d’un jaillissement spontané et d’un travail de construction qui s’élabore au rythme d’un dialogue incessant entre ce que me suggère la toile et ce qui se vit en moi. Dans cet échange, des figures porteuses d’énergie se dressent dans l’espace. La couleur se déverse en gerbes, en vagues tourmentées comme si elle s’identifiait à des forces naturelles. Devant ce déferlement de possibilités et pour renouer avec le « plaisir de peindre » un choix plastique s’impose à moi. L’ensemble s’intensifie, s’étoffe, se ramifie, s’harmonise. Comme des vagues qui se brisent en écume, les tons vifs s’éclatent, s’embrasent en une conflagration lumineuse. Une valse de couleurs me suggère des formes éclatées et un espace mouvementé.
La couleur a une place prépondérante dans mon travail, et à travers elle, j’essaye d’exprimer une sensualité très vaste reposant sur une intensité chromatique où force et subtilité peuvent se rejoindre sans s’opposer. Mon univers pictural naît ainsi de sensations fortes, vives et subtiles à la fois. Il est ponctué de signes virevoltants, de formes à peine suggérées, d’organisations “chaotiques”, où l’esprit peut voyager sans jamais être enfermé ou replié sur lui-même.

Qiuchi CHEN
Qiuchi CHEN est un artiste chinois. Il a commencé sa carrière comme artiste (indépendant) depuis le début des années 1990 lors du « Yuanmingyuan Stage » en Chine. Ses travaux ont été exposés à plusieurs reprises dans de nombreuses villes chinoises mais également internationales telles que Changchun, Shenyang, Pékin, Shanghai, Hong-Kong, Séoul, Londres, Cologne et Berlin. Par ailleurs, il a participé à des foires telles que l’Art Cologne ou encore la Seoul International Art Fair.
Il a reçu un enseignement très strict sur les techniques de modeling et peinture à l’huile. Cependant, en tant qu’artiste contemporain, il a sa propre conscience. Il ne peut pas se dissocier de la réalité, des changements et des problèmes que font face notre société.
Ses travaux sont des schémas composés d’images symboliques dans l’esprit de l’Homme. Ces « symboles » s’accumulent et se répandent comme un virus, un rire ou bien un cri pour exprimer le choix cornélien de l’Homme face au développement. Ce terrible choix : la paix et l’environnement ou la guerre et le développement économique aux dépens de la protection environnementale.
Ce désir grandissant de l’Homme, cette folle course à l’armement, les développements scientifiques et technologiques, les inégalités sociales, la pollution et la crise énergétique, torturent notre planète comme la peste.
Il est vrai que la technologie est l’une des seules méthodes que l’Homme connaisse pour développer notre planète mais elle n’est pas l’unique moyen de transformer notre planète. Cependant, le concept de technologie a pénétré notre esprit et toutes les sphères de notre vie. L’esprit humain est, aujourd’hui, inconsciemment contrôlé par la technologie moderne et nos désirs.
Le pinceau de Chen provoque un long soupir, essayant de susciter l’amour chez l’Homme au moyen de ses travaux et sa conscience qui est dans un profond sommeil, afin de créer une planète où les hommes et les animaux vivent en paix.
Pour de nombreuses raisons que nous connaissons, il peut seulement envoyer quelques travaux comme ses peintures à l’huile sur l’étagère, des images digitales et des sculptures datant de 1998 à nos jours. Il espère sincèrement qu’il aura la chance de coopérer avec votre organisation et permettre à un plus grand public de connaître ses œuvres.
Il a reçu un enseignement très strict sur les techniques de modeling et peinture à l’huile. Cependant, en tant qu’artiste contemporain, il a sa propre conscience. Il ne peut pas se dissocier de la réalité, des changements et des problèmes que font face notre société.
Ses travaux sont des schémas composés d’images symboliques dans l’esprit de l’Homme. Ces « symboles » s’accumulent et se répandent comme un virus, un rire ou bien un cri pour exprimer le choix cornélien de l’Homme face au développement. Ce terrible choix : la paix et l’environnement ou la guerre et le développement économique aux dépens de la protection environnementale.
Ce désir grandissant de l’Homme, cette folle course à l’armement, les développements scientifiques et technologiques, les inégalités sociales, la pollution et la crise énergétique, torturent notre planète comme la peste.
Il est vrai que la technologie est l’une des seules méthodes que l’Homme connaisse pour développer notre planète mais elle n’est pas l’unique moyen de transformer notre planète. Cependant, le concept de technologie a pénétré notre esprit et toutes les sphères de notre vie. L’esprit humain est, aujourd’hui, inconsciemment contrôlé par la technologie moderne et nos désirs.
Le pinceau de Chen provoque un long soupir, essayant de susciter l’amour chez l’Homme au moyen de ses travaux et sa conscience qui est dans un profond sommeil, afin de créer une planète où les hommes et les animaux vivent en paix.
Pour de nombreuses raisons que nous connaissons, il peut seulement envoyer quelques travaux comme ses peintures à l’huile sur l’étagère, des images digitales et des sculptures datant de 1998 à nos jours. Il espère sincèrement qu’il aura la chance de coopérer avec votre organisation et permettre à un plus grand public de connaître ses œuvres.

Stéphanie POPPE
Née en 1984 à Anvers, Stéphanie P.J.E. Poppe est une artiste qui travaille le papier et la broderie, influencée par l'histoire de sa famille, des industriels du textile au 19ème et 20ème siècle. De temps en temps, elle aime mettre en œuvre les techniques de son métier dans ses œuvres. Outre la création artistique, elle est également active en tant qu'écrivain et restauratrice.
Born in 1984 in Anvers, Stéphanie P.J.E. Poppe is an artist who works on paper and embroidery influenced by her family background, we traced textile manufacturers in her family back to the 19th century. Sometimes, she loves to implement her occupation's skills into her works. In addition to artistic creation, she is also active as a writer and a restorer.
Depuis 2013, elle a commencé à développer son propre style artistique, calculé mais intuitif, en restant toujours curieuse de la relation synergique entre l'art et l'architecture, la nature et la culture, l'histoire et le présent. L'état harmonieux de la coexistence entre un état plus permanent et l'éphémère. Comme une araignée, elle crée des structures complexes mais minimalistes qui reflètent ce fragile équilibre.
Since 2013, she began to develop her own artistic style, calculated but intuitive, always curious about nature and culture, history and present. Coexistence's harmonious state between a more permanent state and the ephemeral one. Like a spider, she creates complex but minimalist structures which reflect this fragile equilibrium.
Born in 1984 in Anvers, Stéphanie P.J.E. Poppe is an artist who works on paper and embroidery influenced by her family background, we traced textile manufacturers in her family back to the 19th century. Sometimes, she loves to implement her occupation's skills into her works. In addition to artistic creation, she is also active as a writer and a restorer.
Depuis 2013, elle a commencé à développer son propre style artistique, calculé mais intuitif, en restant toujours curieuse de la relation synergique entre l'art et l'architecture, la nature et la culture, l'histoire et le présent. L'état harmonieux de la coexistence entre un état plus permanent et l'éphémère. Comme une araignée, elle crée des structures complexes mais minimalistes qui reflètent ce fragile équilibre.
Since 2013, she began to develop her own artistic style, calculated but intuitive, always curious about nature and culture, history and present. Coexistence's harmonious state between a more permanent state and the ephemeral one. Like a spider, she creates complex but minimalist structures which reflect this fragile equilibrium.

Ching- Jung CHEN
Le professeur CHEN Ching- Jung, âgé de plus de 80 ans, est un artiste contemporain taïwanais de talent ayant à son actif une cinquantaine d’années d’expérience dans le monde artistique. Ayant une passion et une ténacité sans commune mesure pour l’art, il allie son art avec ses expériences de manière intime.
Né à Changhua en 1934, il étudie les beaux-arts à l’Université Normale Nationale de Taïwan en 1952. Il suit les cours de croquis de Chang Yi-Hsiung. Entre 1960 et 1967, Chen se rend au Japon pour approfondir ses études. Il est diplômé d’abord à l’Université de Musashino puis à l’Université de Tokyo (Fresco Graduate School). Il est directeur du département des beaux-arts à l’Académie Nationale des Beaux-Arts de Taïwan. Il exerce également le métier de professeur en enseignant les arts plastiques à l’Université Normale Nationale de Taïwan. Il est actuellement professeur émérite à l’Université Normale Nationale de Taïwan.
En outre, il a reçu de nombreux prix dont le prix Golden Goblet de l’Association des Artistes Chinois, le prix Wu San-Lien, les médailles de bronze et d’argent du Salon des Artistes Français ainsi que le prix Wen-Xin du Conseil des Affaires Culturelles de Taïwan (aujourd’hui Ministère de la Culture de Taïwan). Il a également reçu d’autres distinctions telles que Citoyen Honoraire de Taïpei et Alumnus Eminent de l’Université Normale Nationale de Taïwan.
L’œuvre du professeur CHEN Ching Jung montre un sentiment de tranquillité et de solitude. Son style fortement raffiné se marie bien avec les tons classiques. Son art va au-delà des images et des symboles, le Réalisme et le Surréalisme, ce qui donne un style unique à son travail. A travers ses œuvres, le public peut saisir la compassion de Chen pour la société. Mais également, ce sentiment qu’il éprouve pour les souffrances de la vie quotidienne.
CHEN Ching-Jung obtient un master en peinture murale à l’Université Nationale des Beaux-Arts de Tokyo au Japon. Il vit et travaille entre Paris et Taïpei. Il organise régulièrement des expositions dans des foires de grande envergure telles que le Salon d’Automne et le Salon des Artistes Français où il remporte de nombreux prix.
Ses travaux parviennent à obtenir une grande force par le biais de tons classiques. Tous les personnages et les objets apparaissant dans ses peintures sont remplis de symbolisme. Ainsi, aller au-delà des réalisme et surréalisme peut être considéré comme la spécificité de ses œuvres. Plutôt que de se concentrer sur des matières proportionnelles, ses portraits mettent en évidence le processus d’assimilation à travers son aspect métaphysique. Les personnages qui apparaissent dans ses peintures ont également un sens idéologique, et ils représentent plus une expression de fragilité que la beauté féminine. A travers l’œuvre de Chen, le public peut venir comprendre et compatir des souffrances dans la vie et la société. Les personnages de ses peintures sont pour lui une manière de communiquer avec nous au moyen du langage artistique et réconforter nos cœurs.
Né à Changhua en 1934, il étudie les beaux-arts à l’Université Normale Nationale de Taïwan en 1952. Il suit les cours de croquis de Chang Yi-Hsiung. Entre 1960 et 1967, Chen se rend au Japon pour approfondir ses études. Il est diplômé d’abord à l’Université de Musashino puis à l’Université de Tokyo (Fresco Graduate School). Il est directeur du département des beaux-arts à l’Académie Nationale des Beaux-Arts de Taïwan. Il exerce également le métier de professeur en enseignant les arts plastiques à l’Université Normale Nationale de Taïwan. Il est actuellement professeur émérite à l’Université Normale Nationale de Taïwan.
En outre, il a reçu de nombreux prix dont le prix Golden Goblet de l’Association des Artistes Chinois, le prix Wu San-Lien, les médailles de bronze et d’argent du Salon des Artistes Français ainsi que le prix Wen-Xin du Conseil des Affaires Culturelles de Taïwan (aujourd’hui Ministère de la Culture de Taïwan). Il a également reçu d’autres distinctions telles que Citoyen Honoraire de Taïpei et Alumnus Eminent de l’Université Normale Nationale de Taïwan.
L’œuvre du professeur CHEN Ching Jung montre un sentiment de tranquillité et de solitude. Son style fortement raffiné se marie bien avec les tons classiques. Son art va au-delà des images et des symboles, le Réalisme et le Surréalisme, ce qui donne un style unique à son travail. A travers ses œuvres, le public peut saisir la compassion de Chen pour la société. Mais également, ce sentiment qu’il éprouve pour les souffrances de la vie quotidienne.
CHEN Ching-Jung obtient un master en peinture murale à l’Université Nationale des Beaux-Arts de Tokyo au Japon. Il vit et travaille entre Paris et Taïpei. Il organise régulièrement des expositions dans des foires de grande envergure telles que le Salon d’Automne et le Salon des Artistes Français où il remporte de nombreux prix.
Ses travaux parviennent à obtenir une grande force par le biais de tons classiques. Tous les personnages et les objets apparaissant dans ses peintures sont remplis de symbolisme. Ainsi, aller au-delà des réalisme et surréalisme peut être considéré comme la spécificité de ses œuvres. Plutôt que de se concentrer sur des matières proportionnelles, ses portraits mettent en évidence le processus d’assimilation à travers son aspect métaphysique. Les personnages qui apparaissent dans ses peintures ont également un sens idéologique, et ils représentent plus une expression de fragilité que la beauté féminine. A travers l’œuvre de Chen, le public peut venir comprendre et compatir des souffrances dans la vie et la société. Les personnages de ses peintures sont pour lui une manière de communiquer avec nous au moyen du langage artistique et réconforter nos cœurs.

Jonathan SHIMONY
Jonathan Shimony est un artiste pluridisciplinaire, il est peintre, sculpteur et graveur. Né en 1964 à Boston, il a été diplômé de Harvard avec les honneurs en 1987, il y avait fait des études dans le département d’études graphiques et environnementales. Grâce à des bourses, il a pu étudier au Japon à l’école d’art de Tokyo où il a obtenu un diplôme en 1989. Il est ensuite retourné aux Etats-Unis où il a obtenu un diplôme dans l’université d’art du Massachusetts en 1991. En 1994 il déménage à Paris, et devient un artiste en résidence à l’école Duperré. Ainsi il put continuer à peindre et à sculpter, et il en profita également pour apprendre la lithographie.
Par ses œuvres, l’artiste souhaite parler de ce qu’il arrive à comprendre du monde dans lequel nous vivons. Pour se faire, il essaye d’utiliser l’histoire et l’histoire de l’art afin de donner une base réaliste aux images qu’il produit et au message qu’il essaye de transmettre par ce biais. Au premier regard, les œuvres de cet artiste ne sont pas particulièrement optimistes, bien au contraire, il a une vision plutôt pessimiste de l’histoire et de l’humanité. Toutefois, il ne se présente pas tel un fataliste. Il continue à produire ses œuvres d’art par ce qu’il pense que l’art peut changer les habitudes des êtres humains et les éduquer. C’est pour cette raison qu’il produit ces œuvres.
Par ses œuvres, l’artiste souhaite parler de ce qu’il arrive à comprendre du monde dans lequel nous vivons. Pour se faire, il essaye d’utiliser l’histoire et l’histoire de l’art afin de donner une base réaliste aux images qu’il produit et au message qu’il essaye de transmettre par ce biais. Au premier regard, les œuvres de cet artiste ne sont pas particulièrement optimistes, bien au contraire, il a une vision plutôt pessimiste de l’histoire et de l’humanité. Toutefois, il ne se présente pas tel un fataliste. Il continue à produire ses œuvres d’art par ce qu’il pense que l’art peut changer les habitudes des êtres humains et les éduquer. C’est pour cette raison qu’il produit ces œuvres.

Keun-tai KIM
Né en 1953, Kim Keun-Tai est un peintre abstrait sud-coréen. Il a étudié à la Chung-Ang university de Séoul. Il est issu du mouvement Dansaekhwa dit monochrome. C’est un courant artistique conceptuel coréen qui prône une esthétique épurée, ainsi qu’une recherche philosophique dépassant les limites conceptuelles. Il s’imprègne également d’une longue tradition artistique de la céramique coréenne, mettant en avant une technique aboutie et une simplicité esthétique proche de la pureté.
Kim Keun-Tai fait aujourd’hui figure de référence de ce mouvement, et plus généralement de l’abstraction coréenne.
Sa démarche:
L’artiste délaisse volontairement la peinture à l'huile traditionnelle pour créer son propre médium en mélangeant de la poussière de pierre à un liant. Cette technique lui permet de produire des surfaces planes et apaisantes.
C’est le vide qui règne au sein de ses œuvres. En ne choisissant aucun sujet, Kim Keun-Tai au travers de ses toiles, nous plonge dans une réflexion propice à la méditation.
Le peintre est imprégné de la pensée platonicienne, pour qui l’image est source d’illusions. Il cherche à se détacher ce qui l'entoure, des complexités de la vie pour atteindre un état de plénitude.
Souvent, Kim Keun-tai compare sa peinture à la porcelaine, car c’est un art primitif lié à la terre. C'est un retour implicite à la poussière. Le blanc de la porcelaine évoque pour le plasticien à la fois, le vide et le plein, tel le spectre de la lumière blanche composé d’une variété de couleurs. Il retranscrit ce jeu de matière au sein de son art.
Kim Keun-Tai fait aujourd’hui figure de référence de ce mouvement, et plus généralement de l’abstraction coréenne.
Sa démarche:
L’artiste délaisse volontairement la peinture à l'huile traditionnelle pour créer son propre médium en mélangeant de la poussière de pierre à un liant. Cette technique lui permet de produire des surfaces planes et apaisantes.
C’est le vide qui règne au sein de ses œuvres. En ne choisissant aucun sujet, Kim Keun-Tai au travers de ses toiles, nous plonge dans une réflexion propice à la méditation.
Le peintre est imprégné de la pensée platonicienne, pour qui l’image est source d’illusions. Il cherche à se détacher ce qui l'entoure, des complexités de la vie pour atteindre un état de plénitude.
Souvent, Kim Keun-tai compare sa peinture à la porcelaine, car c’est un art primitif lié à la terre. C'est un retour implicite à la poussière. Le blanc de la porcelaine évoque pour le plasticien à la fois, le vide et le plein, tel le spectre de la lumière blanche composé d’une variété de couleurs. Il retranscrit ce jeu de matière au sein de son art.

Lee. K.
Le peintre sud-coréen Lee.K dessine des portraits de personnalités telles que Billie Eilish, Jimin du groupe BTS et bien d’autres. L’artiste se réapproprie le visage de ses modèles, souvent connus du grand public, afin de les traiter à sa guise.
L’artiste fait naître ses compositions par une succession de traits et d’ondulations reprenant les courbes du visage. Les gestes du peintre sont frénétiques, à la fois rapides et précis et évoquent la gravure. Les nuances de gris, parfois associées à des notes de couleurs, retranscrivent quant à elles les émotions du visage. En quelques coups de crayons ou de pinceaux, un portrait à la fois réaliste et puissant prend vie.
Dans un subtil jeu de composition, le plasticien sud-coréen, instaure une communication avec le spectateur. Le regard de celui-ci est invité à entreprendre un chemin qui mène aux yeux du modèle. C’est sur cet élément que Lee.K base sa production.
"Je ne veux pas répondre aux questions personnelles. C'est l'une des raisons pour lesquelles je ne dessine jamais la bouche."
Selon lui, la langue est un organe essentiel de la communication mais, elle peut entraîner des quiproquos dus à l’interprétation des individus. La bouche, seul organe qui communique par la parole, peut exprimer des sentiments de différentes manières et ceci implique une perte de sensibilité qui peut induire un malentendu, un quiproquo. C’est cette incompréhension qui pousse l’artiste à privilégier une communication par le regard et à produire des visages dénués de bouche.
Lee.K, aussi mystérieux que ses portraits, se dissimule volontairement à travers ses toiles.
L’artiste fait naître ses compositions par une succession de traits et d’ondulations reprenant les courbes du visage. Les gestes du peintre sont frénétiques, à la fois rapides et précis et évoquent la gravure. Les nuances de gris, parfois associées à des notes de couleurs, retranscrivent quant à elles les émotions du visage. En quelques coups de crayons ou de pinceaux, un portrait à la fois réaliste et puissant prend vie.
Dans un subtil jeu de composition, le plasticien sud-coréen, instaure une communication avec le spectateur. Le regard de celui-ci est invité à entreprendre un chemin qui mène aux yeux du modèle. C’est sur cet élément que Lee.K base sa production.
"Je ne veux pas répondre aux questions personnelles. C'est l'une des raisons pour lesquelles je ne dessine jamais la bouche."
Selon lui, la langue est un organe essentiel de la communication mais, elle peut entraîner des quiproquos dus à l’interprétation des individus. La bouche, seul organe qui communique par la parole, peut exprimer des sentiments de différentes manières et ceci implique une perte de sensibilité qui peut induire un malentendu, un quiproquo. C’est cette incompréhension qui pousse l’artiste à privilégier une communication par le regard et à produire des visages dénués de bouche.
Lee.K, aussi mystérieux que ses portraits, se dissimule volontairement à travers ses toiles.

Sooman MOON
Né en 1962 et après avoir été diplômé d’un master des Beaux-Arts à l’université de Hannam, Sooman Moon a réalisé plus 28 expositions tantôt seul ou en groupe. Il a également participé à plus de 200 événements artistiques. Depuis 2020, il réside au sein de la JH Gana Atelier en Corée du Sud.
Le thème figurant au cœur de Sooman Moon est « l’expression de la volonté de sa liberté à travers l’immersion ». Cette Immersion confère à l’artiste la sensation de dominer la toile avec une imagination infinie. Son ancien métier d’ingénieur lui a permis d’acquérir un sens de la disposition très méticuleux qui figure au sein de son œuvre comme une source continue de concentration dans son art.
À propos de sa série intitulée “Series of Cloud” :
“Le temps file tel une flèche. À mesure qu’elle vieillit, la vitesse de la vie s’accélère. Cela signifie qu’il y a plus d’incidents provenant d’épreuves, et son impact sur nous est plus sévère. Beaucoup de ces derniers sont organisés aussi finement que des feuilles de nuages ou de petits grains de riz. Le travail de l’artiste se trouve à l’opposé de ce concept. Il aime essayer de nouvelles choses, et laisser au spectateur le plaisir de pouvoir observer une évolution entre chacune de ses œuvres.
“Je veux que l’on se souvienne de moi comme d’un artiste toujours proactif dans les changements et qui ne demeure jamais au même endroit.”
Le thème figurant au cœur de Sooman Moon est « l’expression de la volonté de sa liberté à travers l’immersion ». Cette Immersion confère à l’artiste la sensation de dominer la toile avec une imagination infinie. Son ancien métier d’ingénieur lui a permis d’acquérir un sens de la disposition très méticuleux qui figure au sein de son œuvre comme une source continue de concentration dans son art.
À propos de sa série intitulée “Series of Cloud” :
“Le temps file tel une flèche. À mesure qu’elle vieillit, la vitesse de la vie s’accélère. Cela signifie qu’il y a plus d’incidents provenant d’épreuves, et son impact sur nous est plus sévère. Beaucoup de ces derniers sont organisés aussi finement que des feuilles de nuages ou de petits grains de riz. Le travail de l’artiste se trouve à l’opposé de ce concept. Il aime essayer de nouvelles choses, et laisser au spectateur le plaisir de pouvoir observer une évolution entre chacune de ses œuvres.
“Je veux que l’on se souvienne de moi comme d’un artiste toujours proactif dans les changements et qui ne demeure jamais au même endroit.”

Fabian SOMMER
Né à Burgdorf, dans la banlieue de Berne en 1989, Fabian Sommer a étudié le design d’intérieur à Berne, mais il y apprit aussi le dessin industriel. Il travaille actuellement en tant que professionnel dans le domaine de l’architecture. En plus de cette profession, il investit beaucoup de son temps libre dans la photographie, l’écriture ainsi que la musique expérimentale. Il effectue tout ceci avec une soif sans fin de connaissances, d'expériences et d'esthétisme.
Fabian Sommer poursuit ainsi une constante quête de nouvelles opportunités au sein de divers environnements.
Sa toute première source d’inspiration fut une rencontre avec une photographie de l’artiste allemand Michael Wesely, dans laquelle il fut touché par les multiplicités de points de vues qu’offre le photographe. Depuis, Fabian Sommer cherche à capter non pas un mais plusieurs instants dans une seule et même image, tout en jouant avec les effets atmosphériques.
Il tente ainsi de produire une ambiance surréaliste, à la frontière entre imaginaire et réalité. C’est cet aspect flou, et ombragé que l’artiste produit afin de pouvoir permettre au spectateur d’observer et comprendre l’image sous tous ses aspects.
Fabian Sommer poursuit ainsi une constante quête de nouvelles opportunités au sein de divers environnements.
Sa toute première source d’inspiration fut une rencontre avec une photographie de l’artiste allemand Michael Wesely, dans laquelle il fut touché par les multiplicités de points de vues qu’offre le photographe. Depuis, Fabian Sommer cherche à capter non pas un mais plusieurs instants dans une seule et même image, tout en jouant avec les effets atmosphériques.
Il tente ainsi de produire une ambiance surréaliste, à la frontière entre imaginaire et réalité. C’est cet aspect flou, et ombragé que l’artiste produit afin de pouvoir permettre au spectateur d’observer et comprendre l’image sous tous ses aspects.

Skima
Artiste en mouvement, pluridisciplinaire, Skima, de son vrai nom Maxime Thevenet, nait en 1994 en Bourgogne. Initialement formé au dessin technique, destiné aux lignes architecturales, régulières et en perspective, Skima sort bientôt de ce cadre pour découvrir son goût pour l’hyperréalisme et vivre de cette passion, nouvelle mais évidente.
Dans cette dynamique, Skima décide en 2018 de se consacrer de manière exclusive et professionnelle à son art. Il a créé à ce jour plus d’une cinquantaine de toiles, fidèles au mouvement de l’hyperréalisme, mais toutes empreintes d’une émotion bien singulière.
Dans cette dynamique, Skima décide en 2018 de se consacrer de manière exclusive et professionnelle à son art. Il a créé à ce jour plus d’une cinquantaine de toiles, fidèles au mouvement de l’hyperréalisme, mais toutes empreintes d’une émotion bien singulière.

Marco RIHA
Né en Autriche, Marco Riha débuta son parcours créatif au Sri Lanka dans les années quatre-vingt-dix. Étant un artiste autodidacte, il passait son temps à peindre au gré de ses voyages pendant plusieurs années, et ce jusqu’à ce qu’il ait trouvé le foyer de son inspiration dans une maison au Mexique.
Les arts visuels le fascinent, ils représentent pour lui le même sentiment que celui de pouvoir crier sans qu’un son puisse être entendu, comme la possibilité d’être libéré de tout fardeau, ou encore comme la réalisation d’être dans une quête artistique.
La majorité de ses peintures sont créées à partir d’une technique de peinture automatique, c'est-à-dire qui ne fait appel à aucun mécanisme conscient.
Démarche artistique : (132)
Lors de sa période dite symbolique, il peignait sur du papier au moyen de crayons de couleurs et d’aquarelle. Cette phase artistique fut suivie d’une autre phase de fascination pour les huiles sur toile. Ces phases sont pour lui le moyen d’exprimer ses diverses réflexions quant à son introspection, mais aussi de représenter de manière onirique les réalités qui l’entourent et de présenter également ses sentiments au gré de ses voyages.
La série “color drops” marque le début de ses œuvres dites abstraites qui sont faites à base d’une combinaison d’huiles, de peintures, et de teintes. Lors de cette phase, l’artiste va traiter de sujets plus larges et sociopolitiques tels que le multiculturalisme, les libertés, l’écocide permettant de placer l’artiste dans le rôle de référent moral sur ces sujets de société majeurs.
Les arts visuels le fascinent, ils représentent pour lui le même sentiment que celui de pouvoir crier sans qu’un son puisse être entendu, comme la possibilité d’être libéré de tout fardeau, ou encore comme la réalisation d’être dans une quête artistique.
La majorité de ses peintures sont créées à partir d’une technique de peinture automatique, c'est-à-dire qui ne fait appel à aucun mécanisme conscient.
Démarche artistique : (132)
Lors de sa période dite symbolique, il peignait sur du papier au moyen de crayons de couleurs et d’aquarelle. Cette phase artistique fut suivie d’une autre phase de fascination pour les huiles sur toile. Ces phases sont pour lui le moyen d’exprimer ses diverses réflexions quant à son introspection, mais aussi de représenter de manière onirique les réalités qui l’entourent et de présenter également ses sentiments au gré de ses voyages.
La série “color drops” marque le début de ses œuvres dites abstraites qui sont faites à base d’une combinaison d’huiles, de peintures, et de teintes. Lors de cette phase, l’artiste va traiter de sujets plus larges et sociopolitiques tels que le multiculturalisme, les libertés, l’écocide permettant de placer l’artiste dans le rôle de référent moral sur ces sujets de société majeurs.

Diogo Landô
Résident au Portugal, Diogo Lando a étudié l’art et la communication à la Escola Superior Artística do Porto (ESAP) avant de se consacrer pleinement à la pratique artistique.
Il a participé en tant que designer, directeur artistique et photographe à de nombreux projets créatifs. Ces derniers lui ont permis de trouver son orientation au sein des nombreuses voies artistiques. Très vite, il a développé son style propre lui assurant une reconnaissance à travers ses nombreuses expositions internationales.
Son style, mélangeant pop art et surréalisme, se marie à merveille avec son médium, l’art digital, qui lui permet de combiner de nombreux outils de création tels que des collages. Les images qui en surgissent sont indépendantes les unes des autres et arrangées par Diogo en fonction de ses envies.
Selon lui, l’identité constitue un élément primordial et fondamental de l’humanité ; elle est d’ailleurs au centre de sa réflexion artistique. Les autres thématiques - comme la sociologie, la politique, ou encore l’histoire et la culture - sont des éléments secondaires dans la définition de l’individu. Ces thèmes sont associés à la vie humaine qui elle se manifeste par les étapes suivantes : la naissance, l’apprentissage et la mort.
Toutefois, cette nature figure au sein de ses portraits sous la forme de fleurs, symboles de ce qui est éphémère mais aussi de la beauté de ses modèles.
Il a participé en tant que designer, directeur artistique et photographe à de nombreux projets créatifs. Ces derniers lui ont permis de trouver son orientation au sein des nombreuses voies artistiques. Très vite, il a développé son style propre lui assurant une reconnaissance à travers ses nombreuses expositions internationales.
Son style, mélangeant pop art et surréalisme, se marie à merveille avec son médium, l’art digital, qui lui permet de combiner de nombreux outils de création tels que des collages. Les images qui en surgissent sont indépendantes les unes des autres et arrangées par Diogo en fonction de ses envies.
Selon lui, l’identité constitue un élément primordial et fondamental de l’humanité ; elle est d’ailleurs au centre de sa réflexion artistique. Les autres thématiques - comme la sociologie, la politique, ou encore l’histoire et la culture - sont des éléments secondaires dans la définition de l’individu. Ces thèmes sont associés à la vie humaine qui elle se manifeste par les étapes suivantes : la naissance, l’apprentissage et la mort.
Toutefois, cette nature figure au sein de ses portraits sous la forme de fleurs, symboles de ce qui est éphémère mais aussi de la beauté de ses modèles.

Cristina
VITAN
Née en 1997 à l’aube d’un nouveau millénaire, Cristina Vitan a grandit à Budapest. Aujourd’hui Elle elle vit aujourd’hui à Milan où elle a étudié à l'Accademia di Brera. C’est pendant sa formation universitaire, qu’elle a commencé à exposer au sein de plusieurs galeries d’aArts.
En cherchant une forme d’expression identifiable par tous, elle se mit à expérimenter en 2020 la peinture avec son corps, faisant de ses seins le principal sujet de ses peintures.
L’artiste aime que le spectateur cherche parde lui-même la signification de chacune de ses œuvres.
Elle souhaite, à travers son art, incarner l’image d’une femme forte, libre de ses choix, dont celui de produire de l’art en utilisant son corps. Elle considère ce dernier comme support de son expression afin de susciter des réactions auprès du spectateur.
« Ce que je veux, c’est être une femme libre de mes actes et de pouvoir concentrer le foyer de ce travail artistique sur ma poitrine. »
Cette liberté lui permet d’être spontanée dans sa création,: de vouloir un matin se réveiller et décider de s’amuser, de provoquer en posant ses seins sur le visage de Donald Trump, et donc d’en faire une performance artistique.
Finalement pour Cristina Vitan, dans un âge où nous sommes forcés à changer constamment nos modes de vie, pouvoir continuer à s’exprimer librement, dans un âge où nous sommes forcés à changer constamment nos modes de vie, est la chose la plus importante que nous pouvons posséder.
En cherchant une forme d’expression identifiable par tous, elle se mit à expérimenter en 2020 la peinture avec son corps, faisant de ses seins le principal sujet de ses peintures.
L’artiste aime que le spectateur cherche parde lui-même la signification de chacune de ses œuvres.
Elle souhaite, à travers son art, incarner l’image d’une femme forte, libre de ses choix, dont celui de produire de l’art en utilisant son corps. Elle considère ce dernier comme support de son expression afin de susciter des réactions auprès du spectateur.
« Ce que je veux, c’est être une femme libre de mes actes et de pouvoir concentrer le foyer de ce travail artistique sur ma poitrine. »
Cette liberté lui permet d’être spontanée dans sa création,: de vouloir un matin se réveiller et décider de s’amuser, de provoquer en posant ses seins sur le visage de Donald Trump, et donc d’en faire une performance artistique.
Finalement pour Cristina Vitan, dans un âge où nous sommes forcés à changer constamment nos modes de vie, pouvoir continuer à s’exprimer librement, dans un âge où nous sommes forcés à changer constamment nos modes de vie, est la chose la plus importante que nous pouvons posséder.

Ibim COOKEY
Né en 1999 à Port Harcourt au Nigéria, Ibim Cookey a suivisuivit un cursus “BSc Architecture” ( baccalauréat des sciences en architecture) à l’université de l’Etat d' Enugu. En parallèle À côté de cette formation, il expose dès 2015 dans plusieurs galeries, musées et festivals nigérians nigériens. Depuis 2019, ses œuvres s'exportent à l'international notamment à la “Fusion V contemporary Art fair” à Londres, ou encore à la Disrupt space Gallery de Brighton.
Pendant ces cinq dernières années, son travail s’est concentré se concentra sur l’histoire noire et comment ses acteurs pouvant avoir un impactent fortement majeur sur la culture contemporaine d’aujourd’hui.
Son identité provient de la culture africaine et son histoire dont il souhaite apporter une vision différente alors qu’elle est trop souvent dénigrée ou présentée sous un angle biaisé.
Ibim Cookey produit majoritairement des portraits embellis de motifs africains qu’il expose dans des galeries et foires artistiques, dans le but de montrer la culture africaine comme puissante et digne d’intérêt.
Il veut changer l’image stéréotypée véhiculée dans notre société actuelle et souhaite donner une voix à cette communauté en variant les formes de son propos attirant ainsi l’œil du spectateur.
Pour cette édition de Focus Art Fair Paris, le peintre explore le thème de l’identité via des dessins mêlant charbon de bois et crayons de couleur acrylique pour mettre en lumière la vibrance du noir. Il n’utilise ni du noir ni du blanc dans ses portraits, mais des couleurs, soulignant les nuances et la richesse de l’identité africaine.
Pour lui, l’Art ne peut produire une révolution au sens strict du terme, mais permet de changer la vision de chacun et de leur apporter un nouveau regard nouveau.
Pendant ces cinq dernières années, son travail s’est concentré se concentra sur l’histoire noire et comment ses acteurs pouvant avoir un impactent fortement majeur sur la culture contemporaine d’aujourd’hui.
Son identité provient de la culture africaine et son histoire dont il souhaite apporter une vision différente alors qu’elle est trop souvent dénigrée ou présentée sous un angle biaisé.
Ibim Cookey produit majoritairement des portraits embellis de motifs africains qu’il expose dans des galeries et foires artistiques, dans le but de montrer la culture africaine comme puissante et digne d’intérêt.
Il veut changer l’image stéréotypée véhiculée dans notre société actuelle et souhaite donner une voix à cette communauté en variant les formes de son propos attirant ainsi l’œil du spectateur.
Pour cette édition de Focus Art Fair Paris, le peintre explore le thème de l’identité via des dessins mêlant charbon de bois et crayons de couleur acrylique pour mettre en lumière la vibrance du noir. Il n’utilise ni du noir ni du blanc dans ses portraits, mais des couleurs, soulignant les nuances et la richesse de l’identité africaine.
Pour lui, l’Art ne peut produire une révolution au sens strict du terme, mais permet de changer la vision de chacun et de leur apporter un nouveau regard nouveau.

Niko SCHRÖDER (Dionyss)
C'est en recevant une caméra de la part de son oncle en 2018, que Dionyss a découvert sa passion pour la photographie. A force de s'entraîner, il a préféré délaisser la réalité pour créer de nouvelles images. Il a donc commencé à éditer les photos afin de les transformer, et d’en faire quelque chose de nouveau.
En 2019, il a présenté sa première exposition à la galerie “Alte Vogtei’ à Bielefeld située au nord-est de l’Allemagne. Il a également participé à deux expositions groupées à Milan en 2020. Prochainement, il sera présent à la foire de Bruxelles.
Les deux images exposées ici appartiennent à une série de peintures abordant le thème de la décomposition et de la résurrection. Un cycle qui prête lieu à de nombreuses choses telles que le soleil qui se lève et se couche, ou encore, à la vie et à la mort.
“U” représente l’état transitoire. Lorsque quelque chose vient de s’achever et qu’une autre commence, puis se développe pour atteindre le statu quo.
“Neuanfang” présente quant à elle, l’aube d’un renouveau, une avancée vers un nouvel horizon.
Tout ceci constitue pour l’artiste des schémas de la nature, mais aussi une allégorie de nos comportements humains.
“Néanmoins, je pense qu’en tant que sujets, nous sommes constamment en devenir. Nous ne sommes pas, nous devenons! C’est ce que je souhaite représenter à travers cette série de photographies.” affirme l’artiste.
En 2019, il a présenté sa première exposition à la galerie “Alte Vogtei’ à Bielefeld située au nord-est de l’Allemagne. Il a également participé à deux expositions groupées à Milan en 2020. Prochainement, il sera présent à la foire de Bruxelles.
Les deux images exposées ici appartiennent à une série de peintures abordant le thème de la décomposition et de la résurrection. Un cycle qui prête lieu à de nombreuses choses telles que le soleil qui se lève et se couche, ou encore, à la vie et à la mort.
“U” représente l’état transitoire. Lorsque quelque chose vient de s’achever et qu’une autre commence, puis se développe pour atteindre le statu quo.
“Neuanfang” présente quant à elle, l’aube d’un renouveau, une avancée vers un nouvel horizon.
Tout ceci constitue pour l’artiste des schémas de la nature, mais aussi une allégorie de nos comportements humains.
“Néanmoins, je pense qu’en tant que sujets, nous sommes constamment en devenir. Nous ne sommes pas, nous devenons! C’est ce que je souhaite représenter à travers cette série de photographies.” affirme l’artiste.

Marc GÖNZ
Au travers de la matière et de la couleur, avec une technique Impasto, Marc Gönz joue avec la densité de la peinture. L’artiste fabrique lui-même ses propres pigments et peintures à l'huile. Le volume des coups des pinceaux crée, à de nombreuses occasions, des œuvres tridimensionnelles et quasi sculpturales.
“Par la matière et la couleur, avec une technique de remplissage, je prends plaisir à peindre la densité de la peinture. Je façonne moi-même avec des pigments et de l'huile de grandes masses picturales qui sont débordantes.”
Il essaie, de toutes les manières possibles, de rendre ses coups de pinceaux vibrants, vigoureux mais également grotesques et primaires.
Avec ses coups de pinceaux de masse picturale qu’il superpose entre elles, il se laisse emporter par un sens intuitif et peu raisonné. Sa finalité est de se rapprocher à la partie plus spirituelle et profonde de l'inconscient, il veut atteindre l’essence de ce dernier.
“Avec ce coup de pinceau, ces masses picturales que je mêle les unes aux autres, créent une mosaïque multicolore. Je me laisse emporter par un sentiment intuitif et peu raisonné. Mais, pour me rapprocher de la partie la plus spirituelle et la plus profonde de l'inconscient, je veux atteindre l'essence sans artifices. “
A mi-chemin entre la figuration et l’abstraction, Marc Gönz peint des visages, des êtres où semblent émerger de son esprit. La nature joue un rôle très important pour lui. Dans une société qui se numérise de plus en plus, son œuvre est alors l’opportunité de se reconnecter avec la nature ancestrale.
“Par la matière et la couleur, avec une technique de remplissage, je prends plaisir à peindre la densité de la peinture. Je façonne moi-même avec des pigments et de l'huile de grandes masses picturales qui sont débordantes.”
Il essaie, de toutes les manières possibles, de rendre ses coups de pinceaux vibrants, vigoureux mais également grotesques et primaires.
Avec ses coups de pinceaux de masse picturale qu’il superpose entre elles, il se laisse emporter par un sens intuitif et peu raisonné. Sa finalité est de se rapprocher à la partie plus spirituelle et profonde de l'inconscient, il veut atteindre l’essence de ce dernier.
“Avec ce coup de pinceau, ces masses picturales que je mêle les unes aux autres, créent une mosaïque multicolore. Je me laisse emporter par un sentiment intuitif et peu raisonné. Mais, pour me rapprocher de la partie la plus spirituelle et la plus profonde de l'inconscient, je veux atteindre l'essence sans artifices. “
A mi-chemin entre la figuration et l’abstraction, Marc Gönz peint des visages, des êtres où semblent émerger de son esprit. La nature joue un rôle très important pour lui. Dans une société qui se numérise de plus en plus, son œuvre est alors l’opportunité de se reconnecter avec la nature ancestrale.

SAMPY
Originaire de Hong Kong et très actif dans la ville de Manchester, Sampy Sicada est un artiste, designer et influenceur sur Youtube. Sa pratique artistique utilise des médiums tels que legraphite (mine de plomb), les crayons de couleur et la peinture à l’huile. L’utilisation de ces outils artistiques lui permet d’aborder un large panel de thématiques allant de sujets prosaïques à des idées plus théoriques et abstraites.
« Regrowth » est un dessin réalisé aux crayons de couleur qui incarne l’idée qu’en tant qu’individus, nous ne sommes pas composés d’un seul bloc rocheux solide et immobile. L’artiste soumet ici l’idée qu’en tant qu’individus constitués de fragments, nous sommes des êtres mouvants dans notre perception de nous-mêmes ainsi que dans nos mouvements.
Selon lui, nos identités sont fluides. Diverses facettes de nos personnalités coexistent et changent selon l’environnement. Les problématiques liées à la perception de soi et les conflits d’identification peuvent engendrer une transformation suscitant alors l’impression d’être une personne différente.
Cette œuvre représente également la guérison d’un traumatisme, d’un événement marquant qui peut laisser le sentiment d’être brisé : l’artiste a souffert de stress post-traumatique.
Ces pièces manquantes, constituant le puzzle complet d’une personne, sont ici décrites comme étant des éléments pouvant être récupérés un à un. Grâce au mouvement, à la fertilité créative et à de nouvelles expériences nous pouvons grandir, nous épanouir et surtout, nous reconstruire de nouveau.
« Regrowth » est un dessin réalisé aux crayons de couleur qui incarne l’idée qu’en tant qu’individus, nous ne sommes pas composés d’un seul bloc rocheux solide et immobile. L’artiste soumet ici l’idée qu’en tant qu’individus constitués de fragments, nous sommes des êtres mouvants dans notre perception de nous-mêmes ainsi que dans nos mouvements.
Selon lui, nos identités sont fluides. Diverses facettes de nos personnalités coexistent et changent selon l’environnement. Les problématiques liées à la perception de soi et les conflits d’identification peuvent engendrer une transformation suscitant alors l’impression d’être une personne différente.
Cette œuvre représente également la guérison d’un traumatisme, d’un événement marquant qui peut laisser le sentiment d’être brisé : l’artiste a souffert de stress post-traumatique.
Ces pièces manquantes, constituant le puzzle complet d’une personne, sont ici décrites comme étant des éléments pouvant être récupérés un à un. Grâce au mouvement, à la fertilité créative et à de nouvelles expériences nous pouvons grandir, nous épanouir et surtout, nous reconstruire de nouveau.

isomeki
Né en 1983 à Furen-cho sur l’île d’Hokkaido au Japon, Isomeki a ensuite déménagé en Inde et a vécu trois ans à Mumbai. Son intérêt portait alors beaucoup sur les dieux indiens, le peuple indien ainsi que les oiseaux de ce pays. Originellement il est diplômé en littérature française, mais depuis son retour au Japon en 2002, une attirance pour l’esthétique surréaliste est née et c’est ce qui l’a encouragé à débuter la création d'œuvres uniques aux techniques très précises. Sa première exposition officielle en 2020, a eu lieu à la galerie Inukai de Sapporo, lieu où il réside actuellement. Entre temps, depuis 2005, il compose des œuvres musicales en tant que “noise artist”. A partir de 2021, il va non seulement participer à des expositions de groupe à Tokyo et en France, en outre il souhaite participer à des expositions à Sapporo accompagné d’artistes locaux, et bien sûr il souhaite étendre son activité à travers le monde.
L’artiste réalise ses œuvres à l’encre, au crayon, ou bien au stylo sur papier. Son geste est spontané, automatique et ne découle d’aucune pensée ou de réflexion précise. C’est le hasard, seul et unique chef d’orchestre qui dicte la main du dessinateur, alors spectateur de la réalisation de sa propre œuvre. Il observe les mouvements mécaniques de son corps. C’est la raison pour laquelle il pratique une forme “d'écriture automatique”, afin de dévoiler son inconscient, de la connaître et de le voir s’exprimer librement sur une page vierge.
L’artiste réalise ses œuvres à l’encre, au crayon, ou bien au stylo sur papier. Son geste est spontané, automatique et ne découle d’aucune pensée ou de réflexion précise. C’est le hasard, seul et unique chef d’orchestre qui dicte la main du dessinateur, alors spectateur de la réalisation de sa propre œuvre. Il observe les mouvements mécaniques de son corps. C’est la raison pour laquelle il pratique une forme “d'écriture automatique”, afin de dévoiler son inconscient, de la connaître et de le voir s’exprimer librement sur une page vierge.

Ayano
Ayano est née à Kurashiki dans la préfecture d’Okayama au Japon. Elle a commencé à produire des œuvres d’art à partir du printemps 2019. La même année, elle a participé au Memento mori Group Exhibition dans sa ville natale. Au mois de décembre, elle a exposé dans une exposition individuelle intitulée “Circle and Swirls”, dans la ville de Tomo no Ura. En mai 2020, elle a également présenté son travail à la Gallery Jyuro à Okayama. En décembre 2020, elle présente ses œuvres au salon des Indépendants de Tokyo.
Depuis son enfance, Ayano est fascinée par les cercles et les tourbillons qu’elle aime retranscrire sur la toile avec ses sentiments. Pour elle, le cercle possède une âme, et le tourbillon constitue une synergie d’émotions. Les couleurs expriment plusieurs états émotionnels. Dans ses œuvres, elle laisse libre cours à ses sentiments, ainsi elle crée des mouvements, des ondulations et des formes particulières à l’aide de son pinceau. Elle ne sait pas toujours ce qui la pousse à dessiner de telle ou telle manière, elle appelle cela “la magie de la création”. Une fois la création terminée, elle ressent des sentiments de soulagement et de joie. Son souhait est que ses œuvres apportent joie et un léger sentiment de bonheur.
Depuis son enfance, Ayano est fascinée par les cercles et les tourbillons qu’elle aime retranscrire sur la toile avec ses sentiments. Pour elle, le cercle possède une âme, et le tourbillon constitue une synergie d’émotions. Les couleurs expriment plusieurs états émotionnels. Dans ses œuvres, elle laisse libre cours à ses sentiments, ainsi elle crée des mouvements, des ondulations et des formes particulières à l’aide de son pinceau. Elle ne sait pas toujours ce qui la pousse à dessiner de telle ou telle manière, elle appelle cela “la magie de la création”. Une fois la création terminée, elle ressent des sentiments de soulagement et de joie. Son souhait est que ses œuvres apportent joie et un léger sentiment de bonheur.

Yasumasa YOSHIDA
Né à Tokyo en 1979, Yoshida Yasumasa a été diplômé de droit à la Chuo University en 2002. Peu de temps après, il a commencé la peinture comme autodidacte. Fasciné par l’expression intuitive que suscite le pastel à l'huile, il poursuit cette dernière au travers de couleurs vives couchées sur un panneau de bois . Sa pratique artistique mêle ainsi cette technique de pastel à l’huile avec une touche dynamique et colorée.
Récemment, il a participé en 2020 au Focus Art Fair de Porto.
De par sa fascination pour l’expression intuitive à l’aide de pastels, il a choisi une technique “naturelle” en utilisant des crayons pastel sur une planche de bois
Sa vision originale du monde apparaît dans cette méthode de pastels sur bois, avec des touches dynamiques et colorées. Une fois l'œuvre terminée, la meilleure récompense est le sentiment de connexion entre l’artiste et la société. Par la même occasion, ses créations lui permettent de soigner ses blessures. Le thème principal de ses oeuvres est “les scènes de vie quotidienne”. Aujourd’hui au japon nous sommes entourés de beaucoup de choses banales telles que des ciseaux, une boîte d’aiguilles, des fruits, plantes et animaux. Yasumasa essaye d’observer ces objets quotidiens d’un point de vue différent et de créer des oeuvres d’art vivantes et fraîches à partir de cela.
Récemment, il a participé en 2020 au Focus Art Fair de Porto.
De par sa fascination pour l’expression intuitive à l’aide de pastels, il a choisi une technique “naturelle” en utilisant des crayons pastel sur une planche de bois
Sa vision originale du monde apparaît dans cette méthode de pastels sur bois, avec des touches dynamiques et colorées. Une fois l'œuvre terminée, la meilleure récompense est le sentiment de connexion entre l’artiste et la société. Par la même occasion, ses créations lui permettent de soigner ses blessures. Le thème principal de ses oeuvres est “les scènes de vie quotidienne”. Aujourd’hui au japon nous sommes entourés de beaucoup de choses banales telles que des ciseaux, une boîte d’aiguilles, des fruits, plantes et animaux. Yasumasa essaye d’observer ces objets quotidiens d’un point de vue différent et de créer des oeuvres d’art vivantes et fraîches à partir de cela.